David Howard >> Scuttlebutt Sailing News

Le membre du Temple de la renommée du Canada David E. Howard est décédé à l’âge de 104 ans le 21 janvier 2023.

Aux Jeux olympiques de Melbourne en 1956 en Australie, David, avec Howard C. Howard et Donald Tytler, a pris la huitième place dans la classe Dragon.

Il était le deuxième olympien vivant le plus âgé au monde, après un autre marin uruguayen, Félix Sienra, né le 21 janvier 1916.

Il a également été le vainqueur de la Coupe du Canada 1954 au 8 mètres Venture II, skipper et membre du syndicat de True North aux essais de la Coupe du Canada 1969 et de Marauder au Challenger de la Coupe du Canada 1975, ainsi que maître de voile au large. coureurs Inishfree et Bonaventure.

Ancien Commodore du Royal Canadian Yacht Club, dont il était membre honoraire à vie, il a également été l’un des quatre fondateurs de la classe Nonsuch (RCYC). Il a été intronisé au Temple de la renommée de la voile canadienne en août 2018.

David a également été président sortant de l’Orchestre symphonique de Toronto et lieutenant (M) de la Réserve des volontaires de la Marine royale du Canada. Il a vécu pleinement et il aimait la vie. Son esprit curieux et son énergie implacable lui ont permis d’être beaucoup de choses et bien qu’il n’ait aucune qualification formelle pour beaucoup d’entre elles, il n’a pas laissé cela l’arrêter.

Il était : un homme d’affaires ; avocat; professeur; poète; marin; menuisier; ils s’aiment; musicien; chef; philanthrope; banquier; golfeur; investisseur; développeur; négociateur; navigateur; capitaine; sportif; Olympien; architecte; designer; entraîneur; conteur; arbitre; inventeur; artisan; bricoleur; constructeur.

Récemment, il se réjouissait de jouer dans l’un de ses poèmes préférés : « Un jour, la veille, quand la marée est basse, je larguerai mes amarres et partirai. À travers des ombres violettes qui traînent sombrement sur la marée descendante de la mer inconnue, et une ondulation des eaux pour raconter l’histoire d’un voyageur solitaire, naviguant vers des îles mystiques, où à l’ancre se trouvait le métier de ceux qui avaient navigué avant O ‘er la mer inconnue au rivage inconnu.’

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